Quand j'étais jeunette, je gardais les moutons
N'étais jamais seulette à songer par les monts
N'étais jamais seulette à songer par les monts
D'autres bergerettes avec moi devisaient
Parfois, de la musette un berger nous charmait
Parfois, de la musette un berger nous charmait
Il nous faisait rire de ses rondes d'amour
Mais me voici bien vieille, serais seule toujours
Mais me voici bien vieille, serais seule toujours
Que non, ma fillette, nous te marierons
D'une joyeuse fête, nous te célébrerons
D'une joyeuse fête, nous te célébrerons
D'une joyeuse fête, nous te célébrerons
D'une joyeuse fête, nous te célébrerons